Église de Bassens

Église de Bassens

jeudi 19 décembre 2013

Horaires des veillées et messes de Noël, la Naissance de Jésus

Mardi 24 décembre, Bassens, 20h30: Veillée suivie de la messe de la Nuit de la Nativité vers 21h00
Mercredi 25 décembre, Carbon-Blanc, 10h30: Messe de la Nativité

Pour info:
Mardi 24 déc. Ambarès, 18h: messe de la Nativité et 22h00: Veillée suivie de la messe de la Nuit à 22h30.
Saint Louis de Montferrand, 21h30: Messe de la Nuit
Mercredi 25 déc. Saint Vincent de Paul, 9h30: Messe de la Nativité

dimanche 13 octobre 2013

Prière de consécration à Marie du Pape François


Le pape a clôturé les deux "Journées mariales" vécues les 12 et 13 octobre autour de la statue de Notre-Dame de Fatima, apportée du Portugal pour l'occasion, dans le cadre des célébrations de l'Année de la foi.
Voici une traduction du texte original en italien:

Prière de consécration au Coeur immaculé de Marie
Bienheureuse Vierge Marie de Fatima,
avec une reconnaissance renouvelée pour ta présence maternelle
nous unissons notre voix à celle de toutes les générations
qui te disent bienheureuse.
Nous célébrons en toi les grandes œuvres de Dieu,
qui jamais ne se lasse de se pencher avec miséricorde
sur l’humanité, affligée par le mal et blessée par le péché,
pour la guérir et pour la sauver.
Accueille avec ta bienveillance de Mère
l’acte de consécration qu'aujourd'hui nous faisons avec confiance,
devant ta statue qui nous est si chère.
Nous sommes certains que chacun de nous est précieux à tes yeux
et que rien de ce qui habite nos cœurs ne t'est étranger.
Nous nous laissons toucher par ton regard très doux
et nous recevons la caresse consolante de ton sourire.
Garde notre vie entre tes bras ;
bénis et renforce tout désir de bien ;
ravive et nourris la foi ;
soutiens et éclaire l'espérance ;
suscite et anime la charité ;
guide-nous tous sur le chemin de la sainteté.
Enseigne-nous ton amour de prédilection
pour les petits et les pauvres,
pour les exclus et les souffrants,
pour les pécheurs et ceux qui sont égarés dans leur cœur :
rassemble tous sous ta protection
et remets-nous tous à ton Fils bien-aimé, Notre Seigneur Jésus.
Amen.

Traduction de l'italien:  Zenit, Anne Kurian

samedi 7 septembre 2013

Aujourd'hui, journée de jeûne et de prière pour la paix


À l'invitation du pape François, les chrétiens du monde entier, sont invités à prier et jeûner ce samedi 7 septembre 2013. Notre évêque commente cet appel:

“ À travers le jeûne, la prière nous prend aux « tripes » ”

Réflexions de Mgr Ricard sur le sens et les enjeux de la journée de jeûne et de prière pour la paix de ce samedi 7 septembre.

“ À travers le jeûne, la prière nous prend aux « tripes » ”
Quelques réflexions sur ses enjeux
Cette Journée mondiale est un formidable mouvement de solidarité en faveur des peuples martyrs qui souffrent de la guerre, en particulier le peuple syrien, mais aussi tous ces réfugiés syriens qui ont fui dans les différents pays du Moyen Orient (Liban, Jordanie, Turquie…). Nous disons que nous ne les abandonnons pas. Car ils ont, à certains jours, l’impression d’être abandonnés par l’opinion publique internationale.
Cette Journée est aussi un cri, une protestation contre les dangers de la guerre. On peut comprendre, qu’à l’horreur d’une attaque chimique, on souhaite riposter. Mais la Bible nous rappelle que « celui qui sème le vent récolte la tempête » et l’expérience de la guerre en Irak vient nous dire qu’on ne maîtrise pas les conséquences d’une guerre et que ces effets peuvent être dévastateurs, à court ou à moyen terme. N’oublions pas que les minorités, qu'elles soient chrétiennes ou alaouites ont tout à perdre d’une offensive occidentale. Comme le pape et les différents chefs d’Eglise l’ont souligné, la solution à la guerre civile en Syrie est politique, et donc diplomatique, et non pas militaire.
L’Eglise et plus largement les croyants se mobilisent avec les armes qui sont les leurs, des armes spirituelles : la prière et le jeûne. Dans la prière, nous demandons à Dieu que son Esprit de Paix soit davantage accueilli dans le cœur des hommes. À la puissance des idéologies meurtrières, il faut opposer la force de la prière pour la paix. À la spirale de la violence, de la haine et de la vengeance, il faut substituer la spirale de l’amour, de l’espérance et de la réconciliation.
C’est avec tout notre être que nous prions, notre esprit, notre cœur et notre corps. Le jeûne nous engage. Si vous me passez une expression un peu triviale. A travers le jeûne, la prière nous prend aux « tripes ».
Cette Journée n’est pas orientée contre des pays (Les Etats-Unis ou la France). Elle est pour la paix. Le pape voit loin. Sa préoccupation est celle-ci : comment sortir de la guerre civile qui ensanglante le peuple syrien et risque de faire basculer dans une violence généralisée tout le Moyen Orient ?
Le drame de ces pays du Moyen Orient, c’est la situation des minorités ethniques et tout particulièrement des minorités religieuses (nous pouvons penser aux minorités chrétiennes, mais pas uniquement). Auront-elles encore leur place dans l’avenir ? Devront-elles fuir et abandonner des pays où elles sont depuis deux millénaires ? Ce traitement des minorités est un test de la santé de la liberté religieuse dans le monde. Et nous savons que, s’il n’y a pas de liberté religieuse, il n’y aura pas de paix, tant au niveau local qu’au niveau international.
Dans le diocèse de multiples initiatives de prière sont programmées pour répondre à cet appel que le pape François a lancé aux différentes Eglises locales (voir pour information le site du diocèse).
Marie, Notre Dame de la Paix, priez pour nous et pour toutes ces familles qui, aujourd’hui, souffrent de la guerre.

† Jean-Pierre cardinal RICARD
Archevêque de Bordeaux

vendredi 10 mai 2013

Retour du pèlerinage en Terre Sainte

Quelques photos en cliquant ici et un rendez-vous  à noter : vendredi 31 mai dans les salles paroissiales d'Ambares  à 19h 15 pour un repas typique de là-bas...20h 30 soirée témoignages et photos, et possibilité de la messe à 18h30.
Vous êtes tous bienvenus !

lundi 25 mars 2013

Mgr Ricard à Bassens

Après avoir accompli sa mission d'élire le nouveau pape,

(Photos P.F.)
notre cardinal est venu présider la procession et la messe des Rameaux qui ont conclu notre semaine de Mission Populaire sur Bassens. Malgré l'absence de plusieurs paroissiens partis manifester à Paris pour défendre la Famille et le Mariage, les visites aux domiciles des habitants et la présence de notre évêque ont suscité une affluence inhabituelle dans notre église où trop nombreux ont été ceux qui ne trouvèrent pas de places assises malgré les 100 chaises neuves apportées quelques jours auparavant par la Mairie. Outre le cardinal, nous retrouvons sur nos photos le P. Jean-Michel Degorce, nos servants d'autel et nos servantes d'assemblée dans leurs capes blanches (bienvenues aux nouvelles recrues issues du catéchisme!) et les deux séminaristes Julien et Guillaume envoyés par le séminaire de Bordeaux pour le temps de la Mission.

Merci à Daniel Charpentier, notre correspondant local du journal Sud-Ouest, pour les photos qui suivent où l'on voit une petite partie de l'assemblée, le cardinal, notre curé, les séminaristes et servants d'autel:




dimanche 17 mars 2013

vendredi 15 mars 2013

Qui nous fera voir le bonheur ?

Ce samedi 16 mars à 18h30, à l'église de Bassens commence notre semaine de Mission Populaire par la messe dominicale et la bénédiction des paroissiens missionnaires.
En image le programme des soirées de cette mission.

jeudi 14 mars 2013

Bienvenido Pape François!

Bienvenu à notre nouveau pape élu hier soir 13 mars, le cardinal argentin Jorge Mario Bergoglio premier jésuite devenu pape, premier pape non-européen et premier à choisir le nom de François, en l'honneur du "poverello", le saint missionnaire venu d'Assise.

lundi 11 mars 2013

Qui nous fera voir le bonheur ?

ce sera le thème de la Mission populaire à Bassens qui aura lieu du 16 au 24 mars.
Invitez vos amis, vos voisins et qui vous voulez...et venez vous-mêmes évidemment !


mercredi 27 février 2013

BASSENS: Messe d'action de grâce pour Benoît XVI

Ce jeudi 28 février 2013, dernier jour du pontificat de notre pape Benoît XVI (qui cesse de gouverner la barque de l'Église à 20h)
Adoration à 17h30
Messe à 18h30 à Bassens,
action de grâce pour les 8 années de pontificat de notre pape,
dernière messe où nous prierons "pour notre pape Benoît XVI", tout en priant déjà, comme il nous l'a demandé, pour son successeur et les cardinaux chargés de l'élire, parmi lesquels 2 cardinaux bordelais, les cardinaux Ricard et Tauran.

Dernier discours de Benoît XVI

Discours de Benoit XVI lors de ses adieux 
le mercredi 27 février 2013


« Comme l’apôtre Paul dans le texte biblique que nous avons entendu, je sens d’avoir à remercier tout particulièrement Dieu qui guide et édifie l’Eglise, qui sème sa Parole et nourrit ainsi la foi de son peuple. En ce moment, mon cœur s’élargit et embrasse toute l’Eglise à travers le monde, et je remercie Dieu pour les signes que durant mes années de ministère pétrinien j’ai reçu quant à la foi dans le Seigneur, sur l’amour qui circule vraiment dans le corps de l’Eglise et la fait vivre dans l’amour, sur l’espérance qui nous tend vers la plénitude de la vie, vers la patrie céleste. Je vous porte tous dans la prière, dans un présent de Dieu que je trouve à chaque réunion, à chaque voyage, à chaque visite pastorale. Je rassemble tout et tous dans ma prière et vous confie au Seigneur, parce que nous savons sa volonté en toute sagesse et intelligence spirituelle, et parce que nous nous comportons d’une manière digne de lui et de son amour, en apportant du fruit en toute bonne œuvre. Il y a en moi une grande confiance parce que je sais que la parole de vérité de l’Evangile est la force de l’Eglise, sa vie même. L’Evangile purifie et renouvelle, porte des fruits partout où la communauté des croyants l’écoute et reçoit la grâce de Dieu dans la vérité et vit dans la charité. C’est ma conviction, c’est là ma joie ».
« Lorsque, il y a presque huit ans, j’ai accepté d’assumer le ministère pétrinien, cette certitude m’a toujours accompagné, la certitude de ce que la vie de l’Eglise découle de la Parole de Dieu. Comme je l’ai déjà dit à plusieurs reprises, les mots qui, ce 19 avril, ont été prononcés dans mon cœur étaient: Seigneur, pourquoi me demande-tu cela, que me demande-tu? C’est un grand poids que tu dépose sur mes épaules. Mais si tu me le demande, à ton ordre et malgré toutes mes faiblesses je jetterai en confiance les filets. Huit ans après, je peux assurer que Seigneur m’a guidé Il m’a été proche et j’ai pu sentir sa présence chaque jour. Ce fut une étape du voyage de l’Eglise qui a connu des moments de joie et de lumière, mais aussi des moments difficiles. Je me suis senti comme Pierre et les apôtres dans la barque du lac de Galilée. Le Seigneur nous a donné de nombreux jours de soleil ou une brise légère, des jours de pêche abondante, mais aussi des moments de tempête et de grand vent, comme dans toute l’histoire de l’Eglise. Et le Seigneur semblait dormir. Mais j’ai toujours su que le Seigneur est présent dans la barque et j’ai toujours su que la barque de l’Eglise ne m’appartient pas. Elle n’est propriété de personne, mais sienne. Et il ne la laisse pas chavirer. C’est lui qui la conduit, y compris à travers les hommes qu’il a choisi. C’est là une certitude que rien ne peut ternir. Et c’est pourquoi, aujourd’hui, mon cœur est rempli de gratitude envers Dieu parce qu’il n’a jamais abandonné ni son Eglise ni ma personne. Il m’a accordé sa consolation, sa lumière, son amour ».
« Nous sommes dans l’Année de la foi, par laquelle j’ai voulu renforcer notre foi en Dieu dans un contexte qui semble de plus en plus le reléguer au second plan. Je voudrais inviter chacun de vous à renouveler sa confiance en le Seigneur, comme des enfants dans les bras de Dieu. Elle nous soutient et nous permet de marcher jours après jours, même dans les difficultés. Je voudrais que chacun se sente aimé par le Dieu qui a offert son Fils pour nous et qui nous a montré son amour sans limites. Je voudrais que chacun ressente la joie d’être chrétien. Une belle prière matinale dit: Je vous adore, ô mon Dieu, Je vous aime de tout mon cœur. Je vous remercie de m’avoir créé et fait chrétien. Oui, nous sommes heureux d’avoir reçu le don de la foi qui est la chose la plus précieuse, que personne ne peut nous enlever! Remercions Dieu tous les jours, par la prière et par une vie chrétienne cohérente. Dieu nous aime, mais attend aussi que nous l’aimions ».
« Mais ce n’est pas seulement Dieu que je tiens à remercier maintenant. Un Pape n’est pas seulement à la direction de la barque de Pierre, même si c’est sa première responsabilité. Je ne me suis jamais senti seul à porter la joie et le poids du ministère pétrinien. Le Seigneur a mis à mes côtés tant de personnes, qui avec générosité et amour pour Dieu et pour l’Eglise, m’ont aidé et m’ont été proches. Tout d’abord vous, chers frères Cardinaux: votre sagesse, vos conseils, votre amitié ont été précieux pour moi; mes collaborateurs, à commencer par mon Secrétaire d’Etat qui m’a accompagné fidèlement au fil des ans, la Secrétairerie d’Etat et l’ensemble de la Curie romaine, ainsi que tous ceux qui, dans divers domaines, sont au service du Saint-Siège: tant de visages qui ne se font pas voir, restent dans l’ombre, mais dans le silence, dans leur travail quotidien, avec un esprit de foi et d’humilité ont été pour moi un soutien sûr et fiable. Une pensée spéciale à l’Eglise de Rome, mon diocèse! Je ne peux pas oublier les frères dans l’épiscopat et dans le sacerdoce, les personnes consacrées et tout le peuple de Dieu: dans les visites pastorales, les rencontres, les audiences, les voyages, j’ai toujours perçu une grande attention et une affection profonde; mais j’ai moi aussi aimé tous et chacun, sans distinction, avec cette charité pastorale qui est le cœur de tout pasteur, surtout de l’évêque de Rome, du Successeur de l’Apôtre Pierre. Chaque jour, j’ai porté chacun de vous dans la prière, avec un cœur de père ».
« Je voudrais que mes salutations et mes remerciements vous atteignent tous. Le cœur d’un pape s’étend au monde entier. Et je voudrais exprimer ma gratitude au Corps diplomatique près le Saint-Siège, qui rend présente la grande famille des nations. Ici, je pense aussi à tous ceux qui travaillent pour une bonne communication et je les remercie de leur important service. Je voudrais maintenant remercier de tout cœur aussi les nombreuses personnes de par le monde qui, ces dernières semaines, m’ont envoyé des signes émouvant d’attention, d’amitié et de prière. Oui, le pape n’est jamais seul, je l’éprouve encore maintenant d’une telle façon que cela me touche le cœur. Le pape appartient à tous et de nombreuses personnes se sentent très proches de lui. Il est vrai que je reçois des lettres des plus grands de ce monde – des chefs d’Etat, des chefs religieux, des représentants du monde de la culture etc. Mais je reçois aussi beaucoup de lettres de gens ordinaires qui m’écrivent tout simplement avec leur cœur et me font sentir leur affection, qui naît de notre expérience avec Jésus-Christ, dans l’Eglise. Ces personnes ne m’écrivent pas comme l’on écrit à un prince ou à un grand que l’on ne connaît pas. Ils m’écrivent comme des frères et sœurs, ou comme des fils et filles, avec une familiarité très affectueuse. Ici vous pouvez toucher du doigt ce qu’est l’Eglise – non une organisation, une association à des fins religieuses ou humanitaires, mais un corps vivant, une communion de frères et sœurs dans le Corps de Jésus-Christ, qui nous unit tous. Faire l’expérience de l’Eglise de cette façon et pouvoir presque toucher avec les mains la force de sa vérité et de son amour est une source de joie, à une époque où beaucoup parlent de son déclin. Mais nous voyons combien l’Eglise est vivante aujourd’hui! ».
« Ces derniers mois, j’ai senti que mes forces avaient diminué, et j’ai demandé à Dieu avec insistance, dans la prière, de m’éclairer de sa lumière pour me faire prendre la décision la plus juste, non pour mon bien, mais pour le bien de l’Eglise. J’ai pris cette décision pleinement conscient de sa gravité et aussi de sa nouveauté, mais avec une profonde sérénité de l’esprit. Aimer l’Eglise, c’est aussi avoir le courage de faire des choix difficiles, de souffrance, mettant toujours en priorité le bien de l’Eglise et non de soi-même. Permettez-moi de revenir encore une fois au 19 avril 2005. La gravité de la décision est aussi justement venu du fait qu’à partir de ce moment-là j’étais engagé toujours et pour toujours par le Seigneur. Celui qui assume le ministère pétrinien n’a plus jamais de vie privée. Il appartient toujours et totalement à tous, à toute l’Eglise. Sa vie est, pour ainsi dire, totalement privée de sa dimension privée. J’ai pu expérimenter, et je l’éprouve précisément maintenant, que l’on reçoit la vie quand on la donne. J’ai déjà dit que beaucoup de gens qui aiment le Seigneur aiment aussi le Successeur de saint Pierre et ont pour lui beaucoup d’affection, que le pape a vraiment des frères et des sœurs, des fils et des filles du monde entier, et qu’il se sent en sécurité quand il est en communion avec vous, parce qu’il ne s’appartient plus lui-même, il appartient à tous et tous appartiennent à lui. Le toujours est aussi un pour toujours. Il n’y a plus de retour à la vie privée. Ma décision de renoncer à l’exercice actif du ministère, ne change pas cela. Je ne reviens pas à la vie privée, à une vie de voyages, de rencontres, de réceptions, de conférences, etc. Je n’abandonne pas la croix, mais je reste d’une nouvelle façon près du Seigneur crucifié. Je ne porte plus la puissance de l’office pour le gouvernement de l’Eglise, mais dans le service de la prière, je reste, pour ainsi dire, dans la cour de saint Pierre. Saint Benoît, dont je porte le nom comme Pape, me sera d’un bon exemple en cela. Il nous a montré la voie pour une vie qui, active ou passive, appartient entièrement à l’œuvre de Dieu. Je remercie tous et chacun pour votre respect et la compréhension avec laquelle vous avez accueilli cette décision si importante. Je continuerai d’accompagner le chemin de l’Eglise par la prière et la réflexion, avec cette consécration au Seigneur et à son épouse, que j’ai cherché à vivre jusqu’à présent tous les jours et que je voudrais toujours vivre. Je vous demande de vous souvenir de moi devant Dieu, et surtout de prier pour les cardinaux, qui sont appelés à une tâche si importante, et pour le nouveau successeur de Pierre. Que le Seigneur l’accompagne avec la lumière et la force de son Esprit ».

(Merci à la chaine TV KTO et au diocèse de Nantes dont le site internet nous a fourni le texte et les photos ici publiées)

dimanche 3 février 2013

Chandeleur du KT

La Chandeleur, c'est le nom populaire de la Fête de la Présentation de Jésus au Temple, quarante jours après sa naissance. Les enfants du catéchisme ont donc dignement fêté par une procession aux chandelles l'enfant-Jésus que Marie et Joseph portèrent dans le Temple de Jérusalem selon la loi de Moïse.
Cet enfant que la Vierge Marie permit au vieillard Syméon de prendre dans ses bras.
Cet enfant qu'espérait voir depuis si longtemps le saint vieillard qui l'appela "Lumière des Nations".
Cet enfant dont la prophétesse Anne, (veuve depuis environ soixante ans!) parlait à tous ceux qu'elle rencontrait à Jérusalem.
Jésus, lumière des nations!

Parents, enfants et catéchistes ont eu droit ensuite aux délicieuses et si fines crêpes de notre catéchiste Sylvie Pouplin. Mersy Cilvie!


jeudi 31 janvier 2013

Gymnastique dominicale: debout, assis, à genoux…

À la suite du Concile Vatican II, l'Église nous dit comment célébrer la messe.
Parmi les règles qui garantissent une participation fructueuse au mystère eucharistique, ce qui concerne les "gestes et les attitudes du corps" a parfois été oublié ou rejeté.
Assis, debout, assis: nous avons réduit notre expression corporelle à ce binôme. La Belgique nous donne même un triste exemple de ce qui nous guette avec tant d'eucharisties où les fidèles restent assis du début à la fin. Au contraire, nos frères africains, américains ou antillais nous offrent le modèle réjouissant de personnes qui louent et adorent avec tout leur être: dansant, levant les bras, se prosternant…
Car les attitudes du corps "expriment et développent l´esprit et la sensibilité des participants." nous dit la PRÉSENTATION GÉNÉRALE DU MISSEL ROMAIN qui prescrit les règles de la liturgie eucharistique.
"expriment et développent l´esprit et la sensibilité des participants." veut dire deux choses:
- nos gestes témoignent extérieurement de notre attitude intérieure de louange, d'écoute, de recueillement, d'adoration etc…
- nos attitudes physiques favorisent notre participation spirituelle.


Ainsi, se mettre à genoux favorisera l'esprit d'adoration de Celui qui est adoré par les saints et les anges: Dieu.
"Ils s´agenouilleront pour la consécration, à moins que leur état de santé, l´exiguïté des lieux ou le grand nombre des participants ou d´autres justes raisons ne s´y opposent."

En cliquant sur le lien ci-dessous, nous aurons le texte complet (numéros 42, 43, 44):

Les gestes et les attitudes du corps

jeudi 17 janvier 2013

Paroissiens parisiens d'un jour



Aperçu d'un des trois cortèges de l'immense "Manif pour tous" en faveur de la famille et de l'enfant. Il est 18h et il nous reste encore plus d'une heure avant d'arriver au Champ de Mars où se sont rassemblés, depuis le début de l'après-midi, des centaines de milliers de manifestants pacifiques. (Photos Pascal Fagniez)